Ça balise …

Voici quelques nouvelles de notre association, de ses bénévoles, adhérents et partenaires.   
Toujours actifs !


L’AF-CCC dans le pays de Montbéliard

Plusieurs membres de notre association étaient partis les années passées depuis leur domicile, dans le pays de Montbéliard.  L’idée a germé : Pourquoi ne pas reconnaître et baliser une bretelle qui partirait de Montbéliard pour rejoindre le chemin à Le Vernoy. L’étude est en cours.  


L’AF-CCC en Bourgogne

Les pèlerins qui partiront ce printemps auront le plaisir de suivre un chemin bien signalisé en Bourgogne. 
En effet, début février, les associations jacquaires de Franche-Comté/Bourgogne ont travaillé en commun à la vérification et remise en état du balisage de Saint-Jean-de-Losne à Cluny. Danielle, la présidente et plusieurs bénévoles de notre association, les présidents et bénévoles de la Confraternité des Pèlerins en Bourgogne, des Pèlerins 71 et de l’association des chemins de Compostelle et de Rome Bourgogne/Franche-Comté (ACCR-BFC) se sont retrouvés, en petites équipes, outils en main, durant plusieurs jours, pour rafraîchir ou compléter les balises à la coquille.
Accueillis avec chaleur au gîte associatif de Fontaines, géré par l’association des Pèlerins 71, ils ont également passé des soirées d’échanges amicaux autour du sujet qui les anime tous,  le chemin de Compostelle.


L’Af-ccc dans la presse

Lors de la permanence de décembre, à Belfort, une journaliste de l’Est Républicain, Christine Rondot, était venue sans prévenir à la rencontre des présents du jour, anciens et/ou futurs pèlerins.


Attentive, à l’écoute, elle avait pris de nombreuses notes. 
Résultat : dans l’édition du 19 février,  deux pages sur le chemin franc-comtois, l’hébergement des sœurs de l’Alliance, notre association, les paroles de pèlerins….
En prime, la « une » du journal.

Merci à l’Est Républicain et aux journalistes !


En marche … sur les pas de Saint-Bernard du 26 juin au 1er juillet 2022

L’association des chemins de Compostelle et de Rome Bourgogne/Franche-Comté (ACCR-BFC) propose une marche de l’abbaye de Clairvaux à l’abbaye de Fontenay.
Randonnée accompagnée, visites, hébergements, repas, transferts, tout est prévu ! 

La date limite d’inscription est fixée au 31 mars.

Pour tout renseignement et inscription, s’adresser au président de l’association, Claude Censier – Tél. : 07 87 74 77 55 – Courriel : claude.censier@wanadoo.fr


En marche … en Alsace avec Guy Diemunsch

Guy Diemunsch nous fait partager la marche qu’il a effectuée à l’automne dernier sur le chemin de Compostelle en Alsace. Surprises et rencontres au programme.
Voici le début de son récit, la suite est disponible en téléchargement à la fin de cet article.

Sur le Chemin d’Alsace

La pluie persista sans trêve et se livra toute la nuit. Au petit matin, elle ne tombait plus que sur les organismes adaptés des animaux nocturnes attardés, en mesure de l’apprécier ainsi que sur ceux qui vivent déjà dans l’eau (sans oublier les gastéropodes en tous genres qui trouvent là matière à glissades effrénées). C’est en gros le fruit de mes réflexions tandis que je me déplace sur un  trottoir humide ce matin du vendredi 14 septembre.
Depuis une bonne semaine je parcours le Chemin de Compostelle attrapé à Wissembourg, frontière allemande, et je devrais mettre un terme temporaire à mon équipée aujourd’hui en arrivant à proximité de Colmar.
La journée avait démarré singulièrement en débarquant tout harnaché devant le bureau d’accueil – pour l’instant vacant – du gîte catholique de Châtenois (région de Sélestat).
‘‘Haro sur le baudet !’’ J’apostrophe la première des serveuses naviguant entre la cuisine et un groupe d’une trentaine de mémères, redoutables caqueteuses, déjeunant avant de reprendre leur activité de ‘‘patchworkeuses’’.
–  »Siouplait ! Qui se charge d’encaisser les règlements ? »
Coupée dans son élan, la fille de service détaille l’individu qui la dérange ainsi pour une opération inhabituelle à cette heure.
– « Ben… La préposée habituelle n’arrive qu’à neuf heures et demie, mais en cas d’absence… Je m’occupe de vous dès que je me serai débarrassée de ce que je tiens. »
Deux secondes plus tard, la porte battante danse le tango en souvenir de la bourrade subie à son passage. La serveuse distribuera moins de violence à repasser, mais n’ira pas plus loin que la table disposée en coin.
– « À nous ! Alors vous devez quoi, au juste ? »
Elle trouve les tarifs dans le tiroir du bureau et je pointe un billet de cinquante euros.
– « Évidemment, vous n’avez pas de monnaie ! annonce une bouche contractée dans une mine qui ne l’est pas moins.
– « Non ! Pourquoi, il y a un problème ? »
– « Oui ! Je ne dispose pas de la clé de la caisse »
Ça se gâte encore lorsque je propose ma carte bleue, personne ne sait pratiquer la transaction, ni elle, ni aucun de ses collègues et pas plus l’homme à tout faire appelé à la rescousse.
– « Ne vous inquiétez pas, lâche-t-il, si ça ne fonctionne pas c’est simplement parce que je n’agis pas correctement. Je vais me renseigner. »
Par chance, le factotum échange profitablement – au téléphone – avec une interlocutrice et à l’essai suivant, le bibi caquette et accouche d’un ticket.

…. à suivre, en téléchargement ci-dessous

Bonne lecture !

Nicole
Communication af-ccc





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